Nous nous appuyons sur un énorme travail mené avec les scientifiques pour comprendre les enjeux, puiser dans le savoir le plus récent pour raconter les meilleures histoires et trouver les images qui font mouche. L’écologie du corail sera le socle de notre récit. Symbiose, compétitions, mutualisme, parasitisme, séduction, ruses… viendront nourrir une histoire particulière dans laquelle les péripéties de nos personnages effaceront, sous un vernis narratif, ces concepts scientifiques pratiques pour étudier, mais trop “froids” pour séduire.
La dimension technique sera notre deuxième pilier. Car pour montrer le corail tel que nous souhaitons le faire, il va nous falloir innover, inventer, adapter des outils de prise de vues et des optiques, pour nous permettre d’aller chercher, en haute définition, ce que l’œil ne peut voir. Il nous faut capter l’infiniment petit, l’infiniment caché, l’infiniment sonore et les paysages que l’opacité de l’eau nous interdit de percevoir. Et montrer à tout prix les dimensions parfois gigantesques des récifs coralliens, pour se rendre compte…